LA LISTE

Hey.

Voilà. J'ai toujours visualisé une sorte de liste. Une liste de choses à accomplir dans ma vie. Cette liste comporterait une centaine de choses (ok c'est arbitraire mais il faut bien se fixer!), des plus insignifiantes aux plus essentielles, des plus communes aux plus farfelues. Donc voilà..j'ai décidé de les distiller, et d'en disséminer au fur et à mesure de mes articles..comme autant de pièces du puzzle..

# n° 23 : Coucher à plusieurs.

# n° 17 : Avoir mon permis.

# n° 41 : Faire une chorégraphie dan la rue, sur un toit, sous la pluie.

# n° 08 : Connaître l'amour parfait.

THE SENTENCE OF THE DAY:

-Who is your real life heroïn?

-...Mariah Carey.

BONJOUUR THOMAAAS !

Hey.

Feel kind of silly saying this but sometimes, I feel like I'm into rehab. As if I was trying not to feel bad. To get over my problems. And about to let myself go any moment. Held up so high on such a breakable thread.

Okay, Maybe that's not without any bearing on my current readings: Déboire ("Dry") by Augusten Burroughs. Such a great novel. About will. About how to make it through. And happiness. It may sound a bit surreal and weird since I'm not an alcoholic -yet!-, still, I can find myself into him. Truly. And It helps me be a better person.

You guys are probably thinking I'm just..crazy. And I might be. Whatever, since I'm okay.

BACK TO BASICS

Eh oui comme Christina je « retourne aux sources ». Désolé pour ceux qui s’attendaient à un post sur son album –quoique fort réussi !!!- mais l’allusion s’arrête ici…pour bien sûr revenir à mon sujet de prédilection : MOUUAAAA !!!! (Et après ?! j’ai le droit, c’est mon blog non ?!) RASSUREZ-VOUS : ce ne sera pas très long.

Juste pour achever le dernier post. Voilà j’ai effectivement renoncé à beaucoup de choses, si ce n’est à tout ce qui me tenait à coeur cette année. Musique, photo, cinéma, culture, passion des gens, tout y est passé. Tout ce qui faisait que j’étais…moi. Comme si j’avais oublié d’avancer. Rongé par la peur. La peur de perdre. Perdre la face, perdre ce(ux) que j’avais. Malheureusement, je n’ai rien évité. Bien au contraire, j’ai tout précipité. Alors voilà. Il est temps de reprendre cette fameuse liste des rêves à réaliser. LET’S EXPERIENCE!!!

Du changement. Voilà ce qu’il me faut.
Faire mes valises. Voilà ce que je pensais être bon.
Découvrir de nouvelles choses, de nouveaux gens, m’ouvrir au monde. voilà ce que je veux.

Où sévir ? Londres, New York, Sydney, Boston ? La Terre est grande.

Mais Paris l’est aussi. Le Paris magique, le Paris des possibles. C’est là qu’est ma vie. Ma nouvelle vie. J’y suis, j’y reste ! Enfin, pour l’instant… ;)

COME ON GUYS...!

Still gay?

MOI, SAUVAGE

Hey.

A côté. Voilà ce que j'ai toujours cru être. A côté de la vie, à côté du monde. A côté de mes pompes aussi parfois. J'ai toujours eu l'impression d'être spectateur du monde qui m'entourait. D'observer, d'analyser, de décortiquer ma vie, au lieu de la vivre, simplement. Je suis le réalisateur derrière sa caméra, le spectateur dans son fauteuil, le lecteur devant son livre. Je m'observe. Je nous observe. Sans être là. Il y à vous, la communauté. Et moi, en retrait.

Je ne veux pas disparaître. J'essaie même souvent de m'accrocher à vous. Maladroitement, difficilement. Malheureusement, je suis comme le vieux barbu sauvage dans les histoires qui, exilé toute sa vie dans la forêt, ne sait plus comment être en société. Ne connaît plus les règles de vie entre humains. Voilà je suis cet homme. Un sauvage. Ce qui explique mon incapacité totale à obtenir les relations que je désire. J'ai du mal à exprimer mon attachement, simplement, sans que cela vire à la catastrophe. Ou, au mélodrame.

Pourquoi suis-je incapable de lancer des "Je t'aime bien", "Tu comptes pour moi" au fil d'une conversation, et puis reprendre comme si de rien était?

C'est moi. Je suis comme ça.

Pour tout conseil: 06 62 .. .. .. :p

AIMER POUR LA BEAUTE DU GESTE

Il me plaît parce qu'il est sensible.

Il me plaît parce qu'il me fascine.

Il me fait du bien sans même le savoir.

Je ne le connais pas, pour lui je n'existe même pas. Et pour la première fois ça ne me fait rien.

Il ne me consièdre pas avec envie et c'est mieux comme ça.

C'est tout à fait comme ça que je le voulais.

Ah ptit prince! ..aimer pour la beauté du geste, c'est donc ça.

TU SAIS..

Je passe mon temps à rêver,

J'aime les céréales toutes molles à cause du lait,

Les étincelles me font peur,

J'aime les compliments même s'ils me gênent,

Et la lumière me fascine.

Je pleure devant les films et je veux pouvoir aimer,

Quand j'étais pti' jcroyais être magique,

et Oui-Oui était une fille.

Je veux une vie simple et je tiens à TOI.

thomas.

EVERYTHING NEEDS ITS FRENCH TOUCH !

Hey.

Voilà. Mon premier article en français. Si j'ai choisi l'anglais ç'est en partie parce qu'il est plus accessible. (rêverais-je secrètement d'être lu par le monde entier?) Quoi qu'il en soit, il est maintenant temps de revenir à l'essentiel. Mettre de côté l'esthétique du joli blog à l'américaine. Laisser place entière aux confidences.

A l'heure où j'écris je suis un peu perdu. Comme si le temps continuait de s'écouler, le monde de tourner. Trop vite. Je suis sur ce quai de gare et je reste là, face au train sur le départ, auquel je n'arriverais pas à m'accrocher. Je suis dans cette voiture de course lancée toute allure, incapable de la stoper. J'aimerais pouvoir arrêter le temps, pouvoir respirer une minute. Je me sens un peu vide. Je lutte, j'essaie de ne pas baisser les bras et de continuer droit devant.

Mais pour aller où?

"Droit devant soi, on ne peut pas aller bien loin."

Je n'aime pas ça. Graver noir sur blanc ce malaise du moment me gêne. Je dois aller bien. Je vais toujours bien. Malgré ces mots je continue d' avancer. Je fais des rencontres. Je vis des choses nouvelles. Mais il me manque.

La vie est ainsi faite, alors je vais continuer à rouler encore et encore, sans m'arrêter..

SURPRISING AND...INTERESTING

Hey.

It's a wonder how fun life can be. Do you remember Louis? Some guy I told you about in a previous post? You know, the whole seed thing? Well, I may consider the fact that he could be some kind of mentor for me! lol. Here is the 3rd lesson he gave me about life: the buckle theory.

He indeed assumes that everything you do -or at least a host of them- are bound to repeat, as if a buckle had to be done. a circle to be closed. a cycle to be complete. And I start thinking that's the way it goes for love too.

Last night was kind of..unexpected to me: I seriously flirted with my first real girlfriend.

Basically, I dated her when we were young and we've never had sex. We've been keeping in touch so far, like friends, still teasing each other.

But last night was different. After deciding to end up the night at her place, we started cuddling. Just as if we couldn't help touching each other. Soft lights. Smooth skins. Glances. kisses all over her body. Sweet moments. I wanted her. She knew it. And I assume she wanted me too. Still, nothing more happened that night. Not even a kiss. The line not to cross? Possibly. And when I tried to give her my opinion about what was going on, her behaviour, the only words that came out were: "surprising and..interesting". She didn't really got what I meant. But curiously, I think she felt the same.

Yeah last night was different. Last night we were friends.

Does this mean you actually never forget a former lover? Are we bound to be borderline with people we once loved? Or to start it all over again with them once at least ? Well, as far as I'm concerned, I've not made up my mind about that yet. Anyway, I think that, somehow, such an idea is quite reassuring . It's pretty cool to believe that you'll never really lose someone who mattered to you.

SIMPLY STYLISH

MUHAMMAD ALI

Hey.

Who are the strong people around us? Have you ever thought about that? Well, a friend of mine told me about the ones he calls the "Muhammad Alis". A self-speaking image, isn't it? These ones who never seem to care about public opinion. Just like our famous boxer. Yeah he's kind of a role model for him. The embodiment of self-confidence. Faith. Freedom. Strength. No matter what people say.

"If he wanted or planed to do something. Then he just did it! "

So you can easily understand how surprised and amused I was when he told me he had first considered me as one of them. Me. The poor little guy who's afraid not to be loved. Who's always been scared to be..himself.

At that moment, I understood how big the gap can be between the way people see you, and the way you really are. He saw strength where I saw cowardice. Image is such a powerful thing, don't you think? A mere illusion, that can hide the wolf behind the lamb's cover and urge you not to get the angel back from the devil. That little trick that can make you look like a strong guy to your people, when in fact you're just..you.

The first thought that pulled through when my friend told me that was that even Muhammad Ali might doubt too. That’s what I reciprocated.

“Ali, the strong man, is the only part you can see. You don’t see when he’s just Muhammad.”

Yesterday when enjoying a big and tasty Deluxe - probably the 8th wonder of the world I guess- I looked at my gay colleague who I was having a dinner with. He’s cool. I love that guy. He’s kind of queen, see? Some fragile and fancy guy you’d be afraid to leave in the jungle for a minute. He had just made me laugh, embarrassed for whistling for fun at a waiter who actually heard him, when it suddenly hit me. He was one of them. A Muhammad Ali. Sure he first appears as a shallow person, some sort of a gay cliché. Still, he's completely accepted himself and doesn’t care about what people could say. Though he probably doubts and hurts sometimes, he’s Ali when he needs to. That may be what real strength is.

So don't you please let the image blind you.